Véronique Moysan

Enfant des années 70, Véronique Moysan a gardé le souvenir de Goldorack et le rire de Candy Neige André, mais surtout le tissu des pantalons qui piquent et les couleurs improbables des sous-pulls en lycra.

De son ancienne carrière, elle a gardé le goût de la défense du plus faible et réussit toujours avec excès et délectation à combattre l’injustice d’où qu’elle surgisse.

Elle a gardé la nostalgie de la couleur des coquelicots et de la légèreté du vol du papillon. Autant de jolies choses qu’elle sait déjà ne pas pouvoir transmettre à sa fille du fait de leur disparition. Alors elle écrit des livres pour se souvenir que tout cela a existé.

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